Cie Partage de Midi présente 

CAMILLE OU LA RONDE DES PEURS de Séverine Hinschberger

PROCHAINEMENT AU théâtre théâtre de la Clarté (Boulogne Billancourt) tous les samedis de mars à mai 2024 à 14H30

Résumé 

Une forêt bleue étrange voire inquiétante, des animaux effrayants ou loufoques et surtout un lapin fourbe vont entraîner Camille (ou Alice ?) dans une aventure tourbillonnante où elle devra, chaque fois, surmonter une nouvelle frayeur afin d'atteindre son but: trouver cette fameuse aiguille magique qui ôte les peurs. Son entreprise sera-t-elle couverte de succès ?


Note de mise en scène

À la lecture de Camille ou la ronde des peurs, je me suis dit : mais quelle jolie quête initiatique, drôle, touchante, poétique, baignée dans l'univers magique qu'est le Conte.
Et il s'agit bien de cela, la Quête d'une enfant à la découverte d'elle-même, de ses potentiels, la quête d'une enfant qui va découvrir qu'elle ne peut se réduire à ses peurs, qu'elle est bien plus que ça.
Dans « Camille ou la ronde des peurs », l'auteure ne dit pas : il ne faut pas avoir peur ! Elle dit : c'est normal d'avoir des peurs mais tu as tout ce qu'il faut pour les surmonter ! Elle raconte comment les épreuves se transforment en rituels de passage et nous font aller à la rencontre de nos ressources, parfois insoupçonnées, elle nous montre que nous sommes capables.
Le conte théâtral a cela de magique que Tout Est Possible. Il met en abîme les questionnements humains que chacun peut accueillir et traverser car la magie, l'imaginaire, l'onirisme les rendent acceptables, supportables. Et c'est alors que par résonnance, nous entendons aussi le message d'espoir, de résilience.
« Camille ou la ronde des peurs », c'est tout cela, une histoire baignée de Magie, de peurs, d'espoirs, de rires, de tendresse. C'est un univers imaginaire riche de personnages colorés, drôles, touchants, effrayants dans un monde hors du temps et où Tout Est Possible. Une histoire où il existe des références communes avec Alice au pays des merveilles que beaucoup de gens connaissent.
S'il y a bien une chose pour moi qui donne tout son sens et me fait vibrer au travers du théâtre c'est bien d'emporter le spectateur Ailleurs, de créer des bulles de Rêves, d'Espoir, Éveiller des Possibles.
Pour cette création, il y a bien sûr les comédiens, qui joueront pour 2 d'entre eux plusieurs personnages, et dont les costumes seront colorés, et au plus proche de chaque personnage notamment ceux animaliers comme Lapin, Chenille par exemple et aussi pour permettre de créer un univers imaginaire sans avoir besoin de toute la technique qui n'existe pas toujours dans les écoles par exemple, les festivals en plein air etc..
La création lumière viendra soutenir cet univers magique.
Enfin la création sonore nourrira encore davantage notre monde imaginaire par le son du vent, les branches qui craquent, les vitres imaginaires... et bien sûr grâce à la musique. Celle-ci viendra étayer ce que les personnages vivent et permettra aussi les transitions comme un code repérable par tous.


Amandine ROUSSEAU

Galerie photo

LES ELLES DU DESIR de S.Hinschberger

Résumé 

Léa, trente cinq ans, traine dans son salon sa fatigue et son baby blues. Son

bébé âgé de trois mois l'empêche de dormir et de rassembler ses idées, elle d'habitude

si ouverte et encline à écouter les autres. Ce n'est pas de chance pour ses deux

meilleures amies, Marie et Coralie qui vont, tour à tour, faire irruption dans son salon et

déballer leur problèmes de coeur. Les tensions qui résonnaient depuis trop longtemps

dans les esprits de ces deux dernières vont grandir à mesure que la journée passe et les conflits d'autrefois vont refaire surface, tournant au réglément de comptes et rendant l'atmosphère irrespirable. De vérités assénées en confidences mal assumées, les trois amies mettront en péril leur lien affectif pourtant si précieux et qu'elles croyaient indéfectible...

Tour à tour, drôles dans leur détresse, émouvantes dans leur fragilité, déroutante parfois par la violence de leurs réactions, ces trois jeunes femmes, bien ancrées dans leur époque, nous livrent sans filtre leur désir d'exister et leurs cruciaux choix de vie. 

Note d'intention d'écriture

Parler des femmes, en en étant moi-même une, me tenait à coeur. Parler de leurs désirs était une nécessité. Entre humour et âpreté, réglements de compte et déclaration d'affection, raconter ces trois jeunes femmes très ancrées dans leur époque, très différentes mais aussi complémentaires, fut pour moi une sorte de confession intimiste.

Nos désirs nous débordent, nous dépassent, nous tranforment. Ils sont nécessaires à l'évolution d'une vie. Un désir fort et profond chamboule et fait appel à la notion de choix. Ces femmes à la croisée des chemins, en pleine transformation personnelle, ont décidé, un peu malgré elles, mais très certainement appuyées sournoisement par ce qu'on appelle la fameuse « intuition féminine » de prendre leur vie en main. Et cela passe par cette confrontation drôle mais aussi violente car elles sont amies et se font confiance depuis toujours. Ce milieu de vie que l'on ressent souvent au milieu de la trentaine où l'on veut que tout se joue, que notre existence prenne enfin ce sens. La charnière qui fait peur, qui fait mal mais qui suscite une excitation de ce devenir. Ces trois femmes sont loin d'être parfaites, entre petits mensonges et grandes trahisons, elles sont faillibles et attachantes. C'est cet aspect rugueux et indocile que je désirais aussi mettre en lumière où les femmes peuvent, à mon avis, se reconnaître dans leur imperfection, leur fragilité et donc leur humanité.

En rire, en sourire, en frissonner, ne pas choisir entre comédie et drame. Une comédie à l'italienne qui va et qui vient, au gré des émotions des personnages.Sorte de montagnes russes qui fait notre quotidien, je voulais ces « ELLES DU DESIR » comme une bouteille de Champagne millésimé dont le bouchon vous échappe des mains, qui coule sur le tapis mais dont vous arriverez quand même à sauver quelques coupes. 

Les critiques

Critique suivi d'un Entretien radio avec Leïlou Bellisa, Séverine Hinschberger et Amandine Rousseau

Publié le 11 mars 2017 par Yves POEY

N'avez-vous jamais rêvé de savoir ce qui se pouvait bien se passer dans la tête de jeunes femmes citadines, urbaines, entre trente et quarante ans ?N'avez-vous donc jamais voulu savoir comment concilier dans cette tranche d'âge-là, vie familiale, vie professionnelle et vie sentimentale ?N'avez-vous donc jamais envisagé de connaître et de vivre par comédiennes interposées les relations qui peuvent naître et exister entre trois amies qui se connaissent depuis vingt ans ?

Ne cherchez plus !Les réponses à ces trois questions sont à aller chercher au théâtre Darius Milhaud, dans cette pièce intitulée « les elles du désir » de Séverine Hinschberger, qu'elle a écrite et qu'elle interprète en compagnie de Leïlou Bellisa (qui elle, signe la mise en scène) sans oublier Amandine Rousseau, que l'on connaît bien ici, depuis sa création de la pièce « Rien, plus rien au monde » qui sera d'ailleurs bientôt reprise au théâtre de la

Contrescarpe.Oui, c'est une espèce de sociologie de la trentenaire bien tassée que nous propose Melle Hinschberger.Pas facile du tout, cette vie de femme. Ces vies au pluriel de femmes.Que de choix à assumer, que de tâches à réaliser, le chéri (les chéris ?), les bébés à élever, mais aussi que de regrets à exprimer ou à refouler, que d'envies, que de désirs auxquels plus ou moins résister.Nous sommes ici dans une espèce de mélange entre un Desperate Housewives moderne et l'évocation de trois « soeurs » au sens tchékhovien du terme qui se livrent devant nos yeux.Elles nous expriment leurs regrets, leurs rêves, leurs envies encore non-assouvies, leurs désirs (qui seront nombreux et variés).Le propos de l'auteure n'est pas ici de donner des leçons.Non. Il s'agit ici de dresser un portrait de trois femmes, chacune différente, chacune unique.Les trois comédiennes portent de bien belle façon ces trois femmes-là.Elles ont su, chacune à sa manière, incarner ces archétypes modernes, ces portraits très actuels de nos concitoyennes.Dans cette comédie douce-amère, acidulée comme les bonbons Arlequin de notre enfance, nous sommes vraiment accrochés et totalement pris par ces trois tranches d'existences qui se déroulent.Ces trois femmes se cherchent, se trouvent, se perdent, se retrouvent, se chamaillent, se disputent...C'est la vie, quoi.Avec en prime, une recette assez étrange et drôle mais finalement infaillible pour préparer un biberon.Je vous laisse découvrir.

DELACOURAUJARDIN.OVER-BLOG.COM

LES ELLES DU DESIR: Ou l'amitié tuée dans l'oeuf

La Culture avec un grand C, dans notre beau pays, ne se vautre pas seulement dans le faste du Châtelet. Non, les riches tentures rouges et l'or des moulures XVIIIème peuvent aussi accueillir des pièces insipides et des mises en scène convenues. Alors comment choisir ? Vers quelles créations s'aventurer pour retrouver le souffle de la création artistique, ce vent nouveau et frais que l'on attend avec impatience tel un enfant rêvant de fêtes foraines ? Parfois, qui sait, en suivant les pas des chroniqueurs. Car c'est bien là notre rôle de passeur, à l'affut d'un ton différent, d'un thème rebattu mille fois mais qui, par on ne sait quelle grâce, se trouve éclairé d'un prisme nouveau.Le dossier de presse me parlait d'une comédie à l'italienne. "Les Elles du Désir" en adoptent effectivement les codes. L'affiche au graphisme de bande dessinée laisse croire à une histoire girly, trois amies de longue date s'adonnant à leurs jeux favoris de la pique, de la critique vestimentaire ou bien encore du « un jour, mon prince viendra ». Tels trois automates, trois personnages croient se connaître par coeur, imaginent que leur amitié indéfectible ne saurait être

menacée. Mais on découvre bientôt une toute autre réalité. Les banalités échangées au quotidien masquent l'indicible, l'inavouable. Ce désir d'ailleurs qui fait exploser en vol les certitudes d'un parcours tracé d'avance.Il est de ces moments charnières où le désir trop longtemps étouffé, d'avoir un enfant, de dire au monde qui l'on est vraiment, de vivre une passion au grand jour, prend le dessus. Et qu'importe les dommages collatéraux, qu'importe l'amitié ou les convenances sociales. L'écriture de la pièce devient plus incisive. Les visages jusqu'alors enjoués se crispent et le ton moqueur se fait grave. L'atmosphère bascule vers la tragédie grecque où les aveux emportent tout sur leur passage. Trois comédiennes mettent tout leur coeur à l'ouvrage pour dire que l'âme a ses tourments, que la noblesse de coeur côtoie en chacun de nous un égoïsme nécessaire à notre survie. Des comédiennes dont on devine que leurs failles personnelles, intimes, nourrissent la justesse du propos."Les Elles du Désir" font s'envoler le spectateur vers la chaleur du soleil. Mais à s'approcher de trop près, on se brûle les plumes et on verse des larmes de cire.

Publié le 20 avril 2017

David FARGIER « Vents d'orage » pour It Art Bag

 DE Frédéric Pérez pour SPECTATIF

Publié le 28 mars 2017

Charmantes, sincères et touchantes, ces trois jeunes femmes, amies depuis toujours nous en font voir de toutes les couleurs ! Nous passons du rouge vif façon rage de vivre et d'en découdre, au noir profond des heures tristes où le doute s'installe et la solitude s'incruste.

La pièce nous émeut autant qu'elle nous amuse. C'est frais comme un matin de printemps, doux comme une caresse d'été et agréable comme le sourire des comédiennes. Mais ça, c'est avant que des giboulées de déception ne s'abattent sur le jardin, dans l'attente de l'orage de rancoeurs qui guette et, qui sait, d'un volcan d'émotions qui éclate.

Léa pouponne et nous montre ce qui reste le matin du bonheur des cris d'un bébé la nuit. Marie débarque, elle se réfugie chez son amie, elle a tout plaqué. Coralie vient aussi, échange quelques coups de griffes avec Marie et déballe son sac, lourd de sentiments déçus, ne sachant quoi faire d'autre que crier sa colère.

De toutes façons, pour des raisons différentes mais produisant les mêmes effets, elles sont toutes les trois en instance de craquage, au bord du lâcher-tout, à deux doigts de confondre guerre et paix. Et en plus, justement le jour où nous sommes là !...

Leurs histoires de vie s'entrecroisent depuis l'enfance sans qu'elles ne se soient vraiment tout dit, passant au travers du pire comme du meilleur, se coinçant parfois dans des noeuds mal ficelés, choisissant le mensonge par omission pour ne pas se blesser ni prendre le risque de décevoir.

Alors bien sûr, quand le pot aux roses est découvert, ne nous étonnons pas que la cruche déborde, qu'on ne retrouve pas la petite cuillère pour faire les dosages de lait pour le biberon, que les reproches fusent et que les larmes coulent. Mais le bébé, lui, va toujours bien.

Imbroglios et révélations, désirs de vivre libre même quand l'amour s'emmêle les pieds dans leurs parcours, drôles aux accents cruels, leurs propos nous les montrent pourtant croquant la vie sans concession. Mais que se passe-t-il donc ? Peu à peu, les confidences passent aux aveux, les mises au point deviennent conflits.

Les liens tissés depuis l'enfance résisteront-ils ? jusqu'où pourront-elles les tendre sans risque de les briser ? Le désir est-il roi ? Doit-il se soumettre aux conditions du plaisir ? Le texte surfe sur les valeurs de l'émancipation et de la sincérité, de l'amitié et de l'amour, loin des carcans culturels oppresseurs.

Galerie photo

L'AMANT de Harold PINTER

Note de mise en scène

 L'AMANT

Il n'est pas dans mon intention, ici, d'expliquer la pièce, bien au contraire.Ce qui m'a avant tout intéressé, ce sont les multiples contradictions de cette histoire.

Par exemple, si l'amant est le mari, quand travaille-t- il ? et d'ailleurs, travaille-t- il réellement?

Est-ce lui qui veut arrêter le jeu entre eux ou bien elle ?

Peu importe à vrai dire.

L'intérêt est que le jeu existe comme moteur de ce couple.

Sans hypocrisie, est-il possible de vivre dans cette société ? Je ne sais pas répondre à cette question...Je veux seulement montrer le doute que le texte nous offre. Depuis le début des années 60, le monde a changé. A-t- il réellement changé ?Peut-être que quelque chose doit se modifier afin que tout reste pareil.

Beaucoup de choses se sont passées depuis que Pinter a écrit la pièce: de nombreuses guerres, le mouvement hippie, mai 68, sexe, drogues et rock'n roll ont laissé des traces; mais l'âme humaine reste prisonnière (paraît-il) de vieux rituels datant de plus de mille ans d'aveuglement et de peur. Peur de se regarder tel que l'on est. Aveuglement face à la réalité, et obligation de faire avec.

Musicalement, mon intention est de travailler avec le Tango, lequel est un sentiment qui se danse. Il m'évoque d'autres époques, d'autres gens, mais aussi la solitude, l'angoisse existentielle, sentiments propres à tous et inhérents à l'âme de notre société.

Le vide, la solitude, le manque de confiance en soi même, envers l'autre et à l'égard de la société dans son entier, tout ça nous conduit à la création de zones de pseudo-sécurité. La vie ne nous offre aucune sécurité. La vie, c'est prendre des risques constamment, ce que nous cherchons à ignorer en créant sans cesse des routines, toujours plus de routines.

La pièce de Pinter m'a séduite par cette impossibilité que j'ai justement de la comprendre.

Je désire offrir au public les zones d'ombres, les multiples doutes que j'y ai décelés afin que chaque spectateur puisse être en mesure de compléter l'histoire.

C'est aussi pour cela que nous travaillerons sur une scène entièrement vide, comme l'est l'âme de notre société actuelle.

C'est également pour cette raison que le pivot central de la mise en scène sera axé autour du travail des deux comédiens; un travail solide, unique et constant afin d'incarner au plus près cette solitude dans laquelle nous vivons aujourd'hui.

Ma proposition n'est pas de monter Pinter comme il l'est habituellement, mais, tout en respectant ce génial écrivain, montrer ce que cette pièce a de contemporain, de vivant (dans sa propre agonie) et qu'elle crie (dans ses silences) sa douleur.

Enrique Morales


Galerie photos

Les critiques

richard 1er Inscrit Il y a 3 mois 2 critiques Ajouter

-incroyable !!! -
je ne connaissais pas cette pièce, et ce fut un vrai choc!le couple dans tous ses états...de la bagatelle légère aux déchirements violents, les deux comédiens nous renvoient à nos multiples facettes(des plus claires aux plus sombres) un rythme soutenu,une mise en scène qui va à l'essentiel, du rire, de l'émotion...un spectacle complet,j'ai passé une très bonne soirée !
# écrit Il y a 1 semaine

malko Inscrit Il y a 2 ans 3 critiques Ajouter

-Excellent ! -
Je ne connaissais ni Pinter, ni L'Amant et, je l'avoue, j'avais un peu d'appréhension à l'idée de voir cette pièce. Et bien je suis conquis ! Le texte alterne des saynètes ricanantes et des moments tendus, suspendus, et le "scénario" est vraiment étonnant. Les comédiens servent parfaitement l'univers sobre du metteur en scène et le texte grinçant de l'auteur. Bref, me voilà Pinterophile.
# écrit Vendredi

audeol Inscrite Il y a 4 ans 8 critiques 2 Ajouter

-à voir! -
J'ai passé un très bon moment! Je n'ai pas vu le temps passer et j'ai appris à apprécier Pinter!! Un grand bravo aux deux comédiens qui servent admirablement le texte grâce à une mise en scène épurée leur laissant totale liberté! bonne continuation
# écrit Mercredi

autho Inscrite Il y a 2 ans 2 critiques 1 Ajouter

-BRAVO !!!! -
j'ai passé un tres bon moment! les comediens sont tres bons, ils nous servent leur melodrame amoureux avec une intensité et une justesse impeccable! et grace a la mise en scene, l'absence de decor parait evidente! un grand bravo a tous!
# écrit Mardi

audeol Inscrite Il y a 4 ans 8 critiques 2 Ajouter

-à voir! -
J'ai passé un très bon moment! Je n'ai pas vu le temps passer et j'ai appris à apprécier Pinter!! Un grand bravo aux deux comédiens qui servent admirablement le texte grâce à une mise en scène épurée leur laissant totale liberté! bonne continuation
# écrit Mercredi

autho Inscrite Il y a 2 ans 2 critiques 1 Ajouter

-BRAVO !!!! -
j'ai passé un tres bon moment! les comediens sont tres bons, ils nous servent leur melodrame amoureux avec une intensité et une justesse impeccable! et grace a la mise en scene, l'absence de decor parait evidente! un grand bravo a tous!
# écrit Mardi

Par LE NAUD

DINGUE

Étonnant : Les deux comédiens remplissent si pleinement, de toute leur âme, de toute leur sueur, un si petit espace et Pinter nous joue un sacré tour ...

Par domi2

sauve qui peut!

Quand l'ennui, l'habitude et le désarroi meublent le quotidien d'un couple à la dérive, la comédie des circonstances tourne à la parodie où tout les excès sont permis. Du rire au larmes, Séverine Hinschberger et Rémy Delpy nous emmène avec bonheur faire un tour chez les bobo. Avoir absolument.

Par zizou

Franchement pas mal

Je m'étais personnellement déplacé en ne m'attendant pas à grand chose. La représentation est quand même impressionnante. Les acteurs jouent juste, les séquences musicales sont bien dosées et l'humour britannique de Pinter est juste exquis. Vous l'aurez compris, cela m'a plu !

Par john2

à voir absolument !!!

2 comédiens sensibles et émouvants, une mise en scène redoutable d'efficacité, de l'humour et une bonne dose de cruauté, un cocktail bien fort, j'en suis sorti sonné...ça fait du bien de voir de telles pièces !!!

DEMAIN ON SE MARIE DE Coretta Baroncini

Résumé

Deux couples: un qui va se marier et l'autre, à la colle depuis longtemps qui reçoit et organise le mariage. Le temps est à l'orage, aux grandes décisions, aux confidences. Les liaisons définitives des uns appellent les ruptures improvisées des autres, les certitudes renvoient aux insatisfactions et aux remises en question. Les garçons tentent de se soutenir mollement, les filles attisent les sentiments et exigent de leur futur ou ex conjoint, de bonnes raisons d'aimer et de se marier. Elles seront pourtant les premières à remettre tout en question par l'extravagance de leur conduite.

Cie Partage De MidiI
2, rue Segrais
14150 OUISTREHAM 
Optimisé par Webnode Cookies
Créez votre site web gratuitement ! Ce site internet a été réalisé avec Webnode. Créez le votre gratuitement aujourd'hui ! Commencer